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Basket-ball et ostéopathie

Basket-ball et ostéopathie

« Il faudrait que tous les athlètes de haut niveau comprennent le bien-fondé complémentaire de l’approche ostéopathique ». Ces paroles sont prononcées par le quadruple champion NBA et icône internationale du basket-ball français Tony Parker. Elles viennent faire taire les détracteurs de l’ostéopathie, aussi incompétents dans le domaine que mauvais en un-contre-un, qui pullulent sur les forums et pourrissent un débat avec leur opinion aussi fragile que contestable.

Mieux vaut prévenir que guérir

Bien plus prestigieux et musclé que le laissent entendre les critiques infondées sur le basket-ball, ce sport expose ses acteurs à de multiples contacts, sources de blessures (75% des blessures au basket sont la conséquence d’un contact physique entre 2 joueurs). En outre, les changements rapides d’appui et de direction mettent les chevilles des joueurs à rude épreuve, et les exposent à de sévères entorses. Celles-ci doivent impérativement être bien soignées afin d’éviter au joueur des rechutes récurrentes, et de laisser tomber ses coéquipiers quand ils auront besoin de son shoot à 3-points dans le money-time. Des chevilles toniques et en parfaite santé maintiendront le basketteur debout quand son vis-à-vis le fera valser en alternant crossovers et spin moves dévastateurs. L’ostéopathe saura également soulager son dos qui sera sollicité pendant tout le match lors de vos multiples sauts et réceptions.

En somme, le thérapeute agit aussi bien en prévention pour éviter certaines blessures récurrentes, qu’en soin pour aider le sportif à récupérer, mais aussi en suivi pour optimiser ses performances. Ce n’est pas pour rien que de nombreux clubs amateurs (et professionnels) ont mis à contribution les soins ostéopathiques, d’autant plus efficace quand ils sont combinés aux autres spécialités (médecine, kinésithérapie, podologie…).

Claquez le poster à la Vince Carter : gagner en détente verticale grâce à l’ostéopathie

On ne le répètera jamais assez : une (très) bonne détente est impérativement associée à une bonne souplesse. La comparaison avec le chat est monnaie courante sur le web, puisque votre animal de compagnie peut sauter jusqu’à cinq fois sa taille, grâce à sa morphologie et sa souplesse naturelle. Néanmoins, après un choc ou une blessure, ou simplement pour la plupart des sportifs amateurs, prendre le temps de s’étirer (comme le montre cette vidéo) dans le but de gagner en souplesse est bien la dernière chose qu’ils font, bien après le rangement des ballons, plots et autres chasubles plein de sueur. Il est important de garder dix bonnes minutes chaque soir avant d’aller se coucher pour étirer le plus grand nombre de muscles sollicités lors de la pratique du basket-ball (quadriceps, ischio-jambiers, mollets, etc.). Une très nette progression sera observée dans les mois qui suivent !

De fait, l’ostéopathie permet aux basketteurs d’améliorer leurs performances en augmentant leur puissance et leur explosivité. Tout ceci grâce une approche tissulaire (entre autres), mais aussi en travaillant sur la souplesse articulaire et musculaire, ce qui leur permet de gagner en aisance et en amplitude. Ils sauront ainsi mettre leur expérience à profit pour vous apporter les meilleures prestations possibles.

N’oubliez pas que le basket ne fait pas grandir, contrairement aux idées reçues, mais c’est l’acharnement, l’assiduité aux entraînements et la persévérance qui le feront. C’est alors que vous comprendrez que « les grands hommes ne naissent pas dans la grandeur, ils grandissent » (Mario Puzo).

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